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Wayqeycuna
Wayqeycuna
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Wayqeycuna

Wayqeycuna , Tiziano Cruz

Originaire de la province de Jujuy, à l’extrême nord de l’Argentine, Tiziano Cruz invite à l’accompagner sur les lieux de sa culture, auprès de « ses frères à lui » (wayqeycuna en langue quechua). Un voyage qui commence avec le tintement d’une cloche, fait de récits et d’images de montagne, mais aussi de rituels repris sur la scène. Des gestes simples et précis, comme un contre-modèle à la violence du monde, qui prendrait sa source dans le passé : dérouler un tissu, disposer sur une table des corbeilles de fruits et des petits pains que l’on cuisait autrefois en l’honneur des morts. Dans cette célébration intime où s’exprime aussi le deuil de la sœur disparue, l’artiste puise dans la tradition une force tranquille à opposer à la réalité de l’exploitation capitaliste, de l’autoritarisme politique et du colonialisme culturel. Aux rapports de force du monde, il substitue le temps d’une performance la douceur et la réconciliation, et donne à voir et à entendre, comme offert, un sentiment de communauté. Une manière de repenser le partage du sensible.

La fabrique d’expériences

Les mains dans la farine

Les mains dans la farine

En amont du spectacle, Tiziano Cruz propose un atelier de confection de petits pains. L’artiste nous invite à partager un moment suspendu qui entrelace l’art et le territoire, dans une exploration des pratiques culinaires de sa communauté.

lu 19 mai

Espresso

Espresso

Une introduction dramaturgique d’une quinzaine de minutes par Barbara Engelhardt, directrice du Maillon, autour du spectacle en amont de la représentation.

je 22 mai

Avant-scène

Avant-scène

L’occasion d’approfondir et explorer un aspect, une dimension du spectacle, avant la représentation.

ve 23 mai

« La révélation de la 78e édition du festival d’Avignon, c’est lui. Un véritable choc esthétique et politique. »

Le Monde diplomatique – lire l’article

« Une trame de beauté et de violence.  Un savant art du tissage entre intime et politique, entre texte, arts plastiques, cinéma et performance. »

Le Monde – lire l’article

« Les artistes indigènes apportent d’autres poétiques »

L’Œil de l’olivier – lire l’entretien

Texte, mise en scène et interprétation : Tiziano Cruz
Assistanat à la mise en scène et à la dramaturgie : Rodrigo Herrera
Collaboration artistique : Mag De Santo, Duen Sacchi
Musique, son, vidéo et coordination technique : Matías Gutiérrez 
Lumière : Matías Sendón
Traduction pour le surtitrage : Jean-François Grima (français)
Production artistique, costumes et design graphique : Luciana Iovane
Production, administration : Tiziano Cruz, Cecilia Kuska
Production exécutive internationale, direction des tournées et relations internationales : Cecilia Kuska

Production exécutive : Ulmus Gestión Cultural et ROSA studio
Coproduction : Mostra Internacional de Teatro de São Paulo / Festival d’Avignon / La Bâtie Festival de Genève / Zurich Theater Spektakel
Avec le soutien de l’Onda – Office national de diffusion artistique

Avec l’aide du Ciudad Cultural Konex (Buenos Aires) / Festival Internacional de Buenos Aires
Résidences : La Virreina Centre de la Imatge (Barcelone) / CRL Central Elétrica (Porto)

Tiziano Cruz est un artiste interdisciplinaire, dont le travail mêle langage visuel et théâtral, performance et interventions artistiques dans l’espace public. Sa recherche se situe à la frontière entre le théâtre et la performance scénique ; elle se nourrit de matériaux autobiographiques et culturels, qui sont au cœur de son langage original. Il fonde la plateforme de gestion culturelle ULMUS, dédiée à la médiation culturelle en Argentine et dans les pays voisins et dénonce le colonialisme et l'appropriation culturelle. Ses créations sont jouées au Chili, au Brésil, au Mexique, aux États-Unis, au Canada, au Portugal, en Espagne, en Suisse, en Allemagne et en Finlande.

Entretien avec Tiziano Cruz

Entretien avec Tiziano Cruz

« Cette trilogie est conçue comme une série de chants. Wayqeycuna en est le chant final. Le mot signifie mes frères en langue quechua, avec une redondance mes frères à moi. Ce troisième chant représente, en quelque sorte, un moment d’abandon : abandon de la langue européenne – notamment de l’espagnol et du grec – mais aussi abandon de la manière occidentale de penser et pratiquer le théâtre. Je reviens à mes origines. »

avr

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